Middlesex - Eugenides
Mal de pierre - M. Agus
Le lézard lubrique de melancholy grove - Moore
Le passage de la nuit - Murakami
Chocolat - J. Harris
Fascination/tentation - S. Meyer Les mangeurs d'étoiles - R. Gary
Voleurs de plage - J. Harris
La fille de 3eB - C. grenier
Le libraire - De Moraira
Le désert de la grâce - Pujade-Renaud
La maison en papier - CM Dominguez
Presque un mélo - M Efstathiadi
Le retour de Sethos - E. Peters
Le treizième conte - D. Setterfield
Voie sans issue - Collins Dickens
De si bonnes amies - J. Trollope
L'inconnu d'Athène - A. Zouroudi
Le voyeur du yorkshire
L'appel du passé - E Goudge
L'homme squelette - T. Hillerman
La taupe et le dragon - N. Champetier
Tout là bas - Arlette Cousture
La traversée du continent - M. Tremblay
Breaking Dawn - S Meyer
L'arrière saison - P Besson
Les Baïnes - Eric Holder
Petits arrangements avec l'infame - P Parry
Les 4 filles du docteur March - LM Alcott
Dans les bois eternels - F vargas
Thérèse et Pierrette à l'école des saints anges - M Tremblay
Le baiser des ombres - LK Hamilton
les vendredi d'Eléanore - J Trollope
This is not a love song - JP Blondel
Bonbons assortis - M tremblay
Rececca - D. du Maurier
Accès direct à la plage - JP Blondel
Le puit des histoires perdues - J Fforde
Papa longues jambes - J. Webster
Odd & the frost Giant - N. Gailman
Chagrin ferraille - G. Cook
Riverdream - RR Martin
Fashion Victim - I Cohen Janca
Le jour de grâce - R. Van Gulik
Une saison de Célibat - Schields/Howard
Mort d'une garce - C. Dexter
Qui comme Ulysse - G Flipo
Qoëlet
Celui qui bave et qui glougloute - Wagner
Le grand Meaulne - A-Fournier
Le chant du cosmos - R Wagner
Préludes/La Baie - K. Mansfield
Souper mortel aux étuves - M. Barrière
Le jour où einstein s'est échappé - J Bialot
La femme coquelicot - N. Châtelet
Les invités - P Assouline
L'évangile selon Pilate - EE Schmitt
Ten big ones - J. evanovitch
Eleven on top- J. evanovitch Twelve sharp- J. evanovitch Tila pirate malgré elle - P. Juste
Un minuscule inventaire - JP Blondel
Au bon roman - L. Cossé
Millenium 1 - S. Larsson
Millenium 2 - S Larsson
La troisième lettre - M. Marineau
Le canyon des ombres - JD Doss
Journal d'un vampire - LJ Smith
True bood 4,5,6,7 - C Harris Même pas Malte - Maité Bernard La lettre - Jennifer Tremblay
Le bibliothécaire - Larry Beinhart
Percy Jackson - tome 2,3 et 4
Le journal d'un ange - P. Corbucci
"Ces villes magnifiques où les bâtiments superbes sont échelonnés comme dans les décors, ces beaux navires balancés par les eaux de la rade dans un désœuvrement nostalgique, et qui ont l’air de traduire notre pensée : Quand partons-nous pour le bonheur?"
Charles Baudelaire - Les paradis artificiels
Moi, il me fait penser à Londres, Charles... Cliquez pour agrandir, la photo date du mois d'août *soupir*!
Allez en ce beau jeudi de la rentrée, une dernière petite citation du Silmarillion.
"Les Humains tombèrent plus aisément dans le piège. Ceux qui se servirent des neuf anneaux devinrent les puissants de leur époque, rois, sorciers et guerriers d'antan, ils gagnèrent la gloire et la richesse mais cela se retourna contre eux. (...) Un par un, l'un après l'autre, (...) ils devenaient esclaves de l'anneau qu'ils portaient et tombaient sur l'emprise de l'Unique, celui de Sauron. Ils devenaient invisibles à jamais pour tous, sauf pour le porteur du Maître Anneau, et ils entraient au royaume des ombres. C'étaient les Nazgûl, les Spectres de l'Anneau, les plus terrifiants serviteurs de l'Ennemi. La nuit marchait avec eux, et la mort criait par leur bouche."
Le Silmarillion - Les anneaux de pouvoir et le Troisième Âge - JRR Tolkien
« Puis les Valar bénirent Vingilot et le firent passer au-dessus de Valinor jusqu'aux limites du monde. Là,iltraversa la Porte de la Nuit et s'envola jusqu'aux océans célestes.Splendideétaitcemerveilleuxnavire,ilensortaituneflammeondulante, vive et pure ; à sa proueétaitassis Eärendil, le Marin couvert de la poussière étincelante des gemmes, le Silmarilattaché à son front.Encenavireilvoyagea très loin, jusque dans le vide sans étoiles, mais on le voyait le plus souvent le soir ou le matin, paré de l'éclat du levant ou du couchant, quandilrevenait à Valinor de ses voyages aux confins du monde. »
Le Silmarillion - Quenta Silmarillion - Chapitre 24
Le jeudi c'est citation me dit-on, or donc nous aurons du Tolkien au menu, parce qu'en ce moment, je vis en Terre du milieu (chanceuse je suis)...
"Le plus grand et le plus terrible des serviteurs de Morgoth, Sauron (...), était devenu un sorcier aux pouvoirs terrifiants, maitre des ombres et des fantômes, dont l'infâmie et la force cruelle déformaient tout ce qu'il touchait, pervertissaient tous ceux qu'il gouvernait. (...) Il prit d'assaut Minas Tirith..."
Le Silmarillion
PS: je voulais une photo mais d'ici je ne sais pas faire... next time !
En ce beau dimanche chocolaté, j'avais pensé partager quelque beau sonnet de Louise Labé issu tout droit du magnifique livre que j'ai reçu en cadeau de Lou mais l'on me dit en coulisse que des sonnets d'amour ne siéraient pas aujourd'hui... bon. Une petite citation de Louise alors en prélude à de futurs dimanches poétiquespar elleembellis.
"Estant le tems venu, Mademoiselle, que les severes lois des hommes n'empeschent plus les femmes de s'appliquer aus sciences et disciplines, il me semble que celles qui ont la commodité doivent employer ceste honneste liberté, que notre sexe ha autrefois tant désirée à icelles aprendre, et montrer aus hommes le tort qu'ils nous faisoient en nous privant du bien et de l'honneur qui nous en pouvait venir ; et si quelcune parvient en tel degré que de pouvoir mettre ses concepcions par escrit, le faire songneusement et non dédaigner la gloire, et s'en parer plustot que de chaines, anneaus, et somptueus habits, lesquels ne pouvons vrayement estimer nostres que par usage. Mais l'honneur que la science nous procurera sera entierement nostre, et ne nous pourra estre oté, ne par finesse de larron, ne force d'ennemis, ne longueur du tems."
"Seule l'école donnait à Jacques et Pierre ces joies. Et sans doute ce qu'ils aimaient si passionnément en elle, c'est ce qu'ils ne trouvaient pas chez eux, où la pauvreté et l'ignorance rendaient la vie plus dure, plus morne, comme refermée sur elle-même ; la misère est une forteresse sans pont-levis." Albert Camus (Le premier homme - 1960?)
"Décidément, notre ami était d'humeur sombre. Maussade était son caractère, sadness son horizon, saudade son état d'esprit. "Fait chier", eût-il pu dire en polonais s'il avait su le dire en polonais."
A propos d'un test de traduction automatique selon Altavista de la version anglaise de King James de la Génèse "in the beginning, God created the Heaven and the earth...." "... Il (le traducteur altavista) a compris Beginning comme un adjectif et non comme un substantif parce qu'il est dépourvu d'information biblico-théologiques et qu'il ne voit pas de différence substantielle entre un Dieu qui est au début et un Dieu qui commence quelque chose. Cela dit, même d'un point de vue théologique et cosmogonique, ce "Dieu qui commençait" est émouvant et convainquant. Pour ce que nous en savons c'était vraiment la première fois qu'il créait un monde, ce qui peut expliquer bien des imperfections de l'univers où nous vivons, y compris la difficulté de la traduction." Umberto Eco - Dire presque la même chose, Expérience de Traduction - 2003 - traduit de l'italien (négocié) par Myriem Bouzaher - Grasset 2006
"Bien aimé lecteurs de romans, vous avez sans doute été souvent frappés par le fait que les oeuvres qui excitent le plus notre curiosité s'achèvent de manière aussi peu satisfaisante que prématurée à la page 320 du troisième tome. Le héros a alors rarement plus de trente ans et l'héroïne en a par conséquent sept ou huit de moins. La question que je désire poser à chacun d'entre vous est la suivante : est-il juste de présumer que la vie des individus ayant dépassé ces limites d'âge n'offre plus rien de remarquable (...) J'affirme donc que le romancier abuse de son héros et de son héroïne, tout comme de la naïveté de son lecteur, lorsqu'il prend congé des deux premiers cités dès lors qu'ils ont été déclarés mari et femme ; et j'ai souvent espéré que des additions soient faites à toutes les oeuvres de fiction qui ont été conclues d'une manière aussi abrupte. Nous devrions pouvoir apprendre ce qui arrive au sobre époux ainsi qu'à l'ardent célibataire, à la matrone de même qu'à la vieille filles rougissante. Et c'est pourquoi j'admire (et je souhaiterais imiter) le noble auteur français Alexandre Dumas qui, accompagnant ses héros de leur prime jeunesse jusqu'à un âge avancé, ne les laisse en paix que lorsqu'ils sont devenus si vieux qu'il est grand temps de leur accorder un peu de repos. Le héros est un gentleman d'une espèce trop rare pour être envoyé à la retraite au zenith de sa vie ; et je serais curieux de rencontrer celle qui apprécierait qu'on la mette au rebus et qu'on ne lui trouve plus aucun attrait sous prétexte que ses enfants sont grands et qu'elle a trente, quarante ou cinquante ans." William Makepeace Thackeray - 1851